Collection Soumise. Il Est Difficile D’Échapper À Son Destin. Fin De La Saison I (3/3)

Vous savez que j’ai contacté Chris pour lui expliquer ma vie, celle que je vous ai contée dans ce premier chapitre.
Vous savez donc pourquoi nous avons décidé de classer mon histoire dans la « collection soumise. »

• Merci mon amour d’avoir fait de moi un homme, j’ai senti que tu prenais du plaisir dès la première fois, certainement dû à ton aventure de jeunesse avec ce dénommé Christian.

Où a-t-il senti que je prenais du plaisir ?.
Ces propos je les tiens dans ma tête dès ma première fois avec Loïc.
Depuis le temps que j’attends de retrouver une bite dans ma chatte, on pourrait me sentir heureuse, mais il y a un mais !
Plusieurs fois dans mon abstinence e, j’ai tenu grâce à mon gode que je possède depuis ma jeunesse.
Mais ou sont mes délires d’antan ou je me donnais comme une chienne au premier beau mâle venu !

Peut-être dès la première fois, mais règles disparaissent.
Parlons d’Angelle ma belle-mère, elle m’aime énormément et en d’autres temps j’aurais pu me gouiner avec elle.
Elle m’aime surtout dès qu’elle apprend qu’elle va être grand-mère.
Elle m’aime comme mon mari, je dois arrêter mon travail pour me reposer.
Loïc embauche une femme de maison qui vient toute la journée faire tout ce qu’une femme.
Lire, regarder mon portable, voilà mes journées malgré que ma chatte me démange souvent.
J’aime conduire, Loïc m’a acheté une petite Citroën C3, mais qui jusqu’à la naissance reste immobilisée.
Loïc achète tout ce qui me plaît dès que j’exprime un souhait, mais dès qu’ils savent pour ma grossesse, c’est eux qui gèrent ma vie.
Nos rapports pour commencer, Angelle doit lui dire de ralentir sur nos rapports ignorants peut être que son fils est loin d’être un sexe sur pied.
Les petits coups d’un soir disparaissent, dans notre lit, il m’embrasse caresse mon ventre nu, je couche toujours nue, même si au début ça semblait le choquer.


De temps en temps, pas trop souvent, ma chatte pleurant sa faim de bite, je m’isole et je regarde un porno, bizarrement des petits films de femme enceinte baisant à tout va.
Un de ces films montre une de ces femmes, se godant avec une bite tournante et s’injectant du lait tiédit censé remplacer le sperme.

• Madame, vous avez reçu un colis.

Un peu gêné, je vais dans notre chambre pour l’ouvrir.
Par chance, Angelle est déjà passée et repartie à la chaudronnerie tyranniser les ouvriers en tant que responsable des ressources humaines.

• Pauline, amenez-moi un pot de lait chaud ?
• Oui, madame, le temps de le faire réchauffer.

J’ai failli m’ébouillanter l’intérieur de mon vagin cette première fois.
Après trois essais j’arrive à trouver la bonne température, mais je m’aperçois, que le mieux est le pire, car ce lait lorsqu’il tape mon utérus augmente ma frustration.

• Pauline, apportez-moi un verre de glaçon.
• Oui, madame le temps d’aller en chercher dans le congélateur.

Houra !
Eau et glace, je démarre ma jouissance que je refroidie en déclenchant la pompe qui injecte son liquide froid.
Bébé devait sentir le chaud avec le lait et maintenant le froid quand je freine ma jouissance ayant trop peur que la soumission à mon sexe revienne.

• Poussez, madame, je vois la tête.

Jules est né et à ce jour mes bas instincts semblent se mettre au repos, c’est mon fils qui m’aide en me tétant.
J’ignore si d’autres femmes qui lisent mes confidences ont ressenti ce que je ressens, mais ses petites lèvres tirant sur mon sein gorgé de lait m’apportent la plénitude.

• Aie.
• Que se passe-t-il France ?
• Ce petit coquin m’a mordu.

C’est à Angelle que je dis cela alors qu’une tétée plus profonde m’a déclenché un plaisir important et cela va si bien durer que je continue à l’allaiter jusqu’à ses 18 mois.
Retour de couches, de nouveau les petits coups rapides, mais dont je me contente.


• Poussez, madame, je vois la tête.

Bonjour Jade, bien venue sur cette terre et prenez la place de votre frère ici présent pour me téter et m’apporter un bien profond.
Bref, j’ai réussi le couple parfait avec deux s avec le choix du roi.

Un soir, Pauline en heures supplémentaires accepte de faire la baby-sitter.

• Chérie, depuis la naissance de nos s, tu es restée loin du monde.
Mets cette robe que je t’ai fait livrer, je t’emmène au restaurant et après je te ferai une surprise.

Jolie robe dans mon style depuis que, j’ai réussi à épouser Loïc.
Petite touche érotique, lorsque je monte dans sa propre grosse voiture, j’ai volontairement oublié ma petite culotte ma robe se portant sans soutien-gorge.
Des fois que l’idée aille lui traverser le cerveau pour une fois de passer sa main sous ma robe et qu’il s’aperçoive de la coquine qu’il a épousé.

• Reconnais-tu ?
• C’est la discothèque où nous nous sommes rencontrés mon amour et qui me permet de vivre une vie de rêve depuis.

Là je suis faux cul, car je suis loin d’être pleinement satisfaite surtout lorsqu’il me fait danser.
Est-ce les lumières tamisées ou mon mari collé à moi, mais la coquine se réveille, je sens ma mouille couler le long de mes jambes.
C’est de ma soumission à mon sexe que je parle, je regarde à droite et à gauche, même si nous sommes dans une discothèque de vieux, quelques-unes auraient fait mon ordinaire, il y a plus de quatre ans.
Au resto, j’ai pris un café, ce qui a toujours pour effet de me donner envie de pisser.

• Excuse-moi Loïc je vais aux toilettes.

Dire que c’est ce café qui va être ma perte, mais là encore je vais un peu vite.
Je prends mon baise-en-ville assorti à ma robe et mes talons hauts et je me dirige vers la balise ou s’affiche « Toilettes ».
Je longe le bar.
Le dernier homme avant cette porte est construit comme les hommes que j’ai trop fréquentés par le passé.

Des bras comme ceux qui me serraient sauvagement et qui souvent étaient assez costauds pour me soulever et m’embrocher le long de portes de waters.
Bref des hommes servant ma soumission au sexe » violent que j’essaye de réfréner depuis mon mariage.
Il se retourne et me voit.

• France, c’est toi, si l’on m’avait dit que je te rencontrerais ce soir dans ce genre de boîte, j’aurais ri de bon cœur.
Surtout dans ta robe de petite bourgeoise, ho, je sais comme la salope qui a disparu un jour, je suis sûr que tu es ta chatte à l’air.

Alex, l’un de mes amants d’un coup avec pour lui une exception, je me souviens clairement que ce sont trois coups que j’ai tiré entre ses gros bras.
Le premier comme souvent clouée aux portes dont j’ai souvent parlé.
Le deuxième dans la petite rue adjacente où il était garé, couchée sur le capot d’une voiture où il m’a enculée dans l’impossibilité d’aller plus loin.
La dernière fois avant ma résolution, la troisième dans cette même voiture, mais sur la banquette arrière, là encore avancer jusqu’au siège avant a été hors de porter.

• Alex, comment me parles-tu, je suis mariée et j’ai deux magnifiques s.
J’aime, mon mari je suis une femme comblée.

Il me prend par le bras, j’espère que Loïc a les yeux tournés ailleurs, bien que j’aimerais le voir venir casser la gueule à cet homme qui semble m’importuner.
Mon bras me brûle à l’endroit de sa main.

• Tu peux toujours avoir de grands airs maintenant, mais je sais qu’une salope reste une salope.
Tient prend ma carte, je suis représentant de commerce et je suis souvent dans les parages, j’ai une chambre en ville.
Si tu veux t’éclater comme aux bons vieux jours, appelle, si je suis là, mon sexe sera à ta disposition pour baiser la soumise que tu es à ton propre sexe.

Vous voyez, même Alex a senti ma soumission à ma chatte, Chris a bien choisi la collection.
Pourquoi je la prends, aurais-je des envies de revenez-y ?
Je rentre aux toilettes, la carte à la main, je la glisse dans mon petit sac à main.

Lorsque je ressors Alex brille par son absence.
Je rejoins Loïc.

• À qui parlais-tu, cet homme semblait te connaître ?
• Oui, il m’a pris pour une autre, mais je l’ai dissuadé de continuer à m’importuner.
• Pourtant, il t’a donné quelque chose avant que tu rentres aux toilettes !
• C’est vrai, il a voulu que je prenne une de ses cartes professionnelles, il est représentant de commerce.
Tient la voilà, regarde ce que j’en fais, je voulais le faire à la maison.

Je la déchire et le mets dans la soucoupe devant nous.
Ça suffit à Loïc pour taire ses suspicions s’il en avait et nous finissons notre soirée agréablement.
Jusqu’au retour, il est charmant, mon minou dénudé, attend la venue de sa main.
Je commence à bruler entre mes jambes.
Une nouvelle fois, je dois avouer mes turpitudes, au moment de partir, j’ai prétexté une retouche de rouge à lèvres et discrètement j’ai récupéré la carte en quatre morceaux.
Elle est là bien au chaud dans mon sac...

À la fin de cette saison I, je suis encore incertaine d’être celle que je suis vraiment.
Qui de France, la bourge ou de France la pute va prendre le dessus.
Vous l’apprendrez bientôt dans la saison II qui sera la dernière de ma vie à double tranchant.

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